J'ai moi aussi toujours ce problème avec les Ni et les De lors de la traduction français → japonais. Mais ça a tendance à s'atténuer. Heureusement !
Par contre, à l'inverse, je morfle beaucoup plus avec la traduction de textes japonais en français.
Il y a certains articles de journaux vraiment pas clairs du tout, par exemple ! D'abord comprendre, ce n'est pas le plus dur. Mais ensuite, retranscrire en bon français en gardant tout ce qu'il y a dans la phrase, là c'est autre chose.
Et en plus, je ne fais que de la traduction dans ce sens là : manuel d'histoire, manuel de littérature, articles de l'Asahi Shimbun, contes pour enfant, extraits de roman et textes "académiques" (là, on rigole bien quand on arrive en cours avec trois pauvres phrases traduites sur sa feuille !). Mais pour ce qui est du français → japonais, à Strasbourg, on n'en fait qu'une heure par semaine !
En première année, par contre, c'était complètement différent. Très très théorique, avec autant de traduction dans un sens que dans l'autre. Mais c'était un peu trop mécanique et chiant au bout du compte. Cette année, on est enfin confrontés à la langue. Mais c'est relativement hard quand même !
Surtout que le programme zappe toute la partie théorique de la première année. C'est tout l'un ou tout l'autre. Ce qui est l'un des principaux défauts de Strasbourg, à mon avis. Mais il y en a bien d'autres. =)
Et malheureusement, je ne pourrai pas t'aider sur l'ère Edo. Je ne m'y connais pas plus qu'un amateur sur cette période. On étudie l'Histoire de manière relativement précise qu'en deuxième année en partant des "petits pays" avec Himiko, tout ça. Là, j'en suis à la fin de la période Heian et on va commencer Kamakura Jidai dès cette semaine, je pense.
En première année, on n'étudie que Yayoi, Jômon, un peu la cour de Suiko et ensuite on est propulsé à l'ère Meiji jusqu'à la fin de la deuxième Guerre Mondiale avec l'occupation américaine.
Voilà !
Et moi j'ai un dossier sur l'emaki à faire, en plus de mes 6 textes hebdomadaires. :noel: