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 The Legend of Zelda The Spirit Tracks

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Yoshi1206
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Yoshi1206

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The Legend of Zelda The Spirit Tracks Vide
MessageSujet: The Legend of Zelda The Spirit Tracks   The Legend of Zelda The Spirit Tracks Icon_minitimeVen 15 Jan - 12:48

The Legend of Zelda the Spirit Tracks


The Legend of Zelda The Spirit Tracks 61an%2Bbf05tL._SL500_AA280_

Machine: Nintendo DS
Editeur: Nintendo
Développeur: Nintendo
Sortie Française: 11 décembre 2009



Link replie la grande voile pour s’armer d’une pelle a charbon. Un moyen de locomotion qui semble étrange pour un jeu reposant avant tout sur l’exploration. Mais pourtant…



Toujours la même impatience lorsque l’on acquiert un nouvel épisode de Zelda, on se presse de regarder la petite introduction, puis de créer son fichier. Puis vient le moment tant sollicité : notre nouvelle rencontre avec Link, et la joie de repartir pour de nouvelles aventures.

Le début commence sur les chapeaux de roues, et ce n’est pas rien de le dire. En effet, a peine avons-nous le temps de faire quelques pas que l’on apprend que la princesse Zelda nous attend au château afin de nous remettre le diplôme de conducteur de train.

Mais encore faut-il pouvoir s’y rendre, nous qui somme actuellement dans un petit village. Eh bien oui, il faudra prendre le seul moyen de locomotion possible entre les ville : le train.



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Arretez-vous devant une gare pour entrer en ville



C’est ainsi que nous nous retrouvons à bord de notre locomotive pour notre baptême du rail. Plein gaz, coup de sifflet pour faire déguerpir les vaches traversant les voies devant nous et donc d’éviter de les percuter. A l’aide du stylet, nous avons accès à toutes les commandes du train dans une interface simple et claire : Actionner le levier de vitesse, attraper la corde pour donner un coup de sifflet. Si vous ne voulez pas passer votre temps a régler les aiguillages, basculez la carte sur l’écran du bas, faites votre tracé et laissez la locomotive suivre le bon itinéraire… prenez plaisir a observer le paysage qui défile. Méfiance toute fois, vos voyages en train ne seront pas de tout repos, il faudra être attentif aux attaques d’étranges créatures que vous rencontrerez et veillez également de ne pas entrer en collision avec de mystérieuses locomotives démoniaques.



Mais revenons à nos moutons. Nous voilà désormais arrivé à la gare de la citadelle d’Hyrule. Nous allons donc à la rencontre de la princesse et après quelques péripéties proprement mises en place par de petites cinématiques. Puis arrive le drame, le dénommé Trauchmar aidé par le sombre ministre Kimado surgissent devant nous. Ils s’emparent du corps de la Belle et plonge le royaume dans le chaos. Leur but, réincarner le roi démon qui a causé la terreur il y a des années de cela. Nous assistons impuissant à la scène et à la libération du mal.

Comme a l’accoutumé, on vous confie la lourde tache de restaurer la paix et d’empêcher le monde de sombrer dans les tenebres.

Pour mener à bien votre mission, vous serez amené à traverser le monde, a bord de votre train. Vous visiterez les villages locaux, symbolisés par les gares, afin de poursuivre votre enquête auprès de la population. Encore une fois, il est important de converser avec les personnes que vous rencontrerez, elles vous donneront bien souvent d’importantes révélations sur les événements actuels.

Puis bien entendu, vous serez amené à croiser le fer dans les sombres donjons, repaires incontestés de toute la vermine du monde d’Hyrule. Mais l’épée ne fait pas tout, encore faut-il passer les nombreuses énigmes bien mieux pensées que dans phantom Hourglass.

En effet, les développeurs ont fait preuve de bon sens en y intégrant des objets astucieux et loin d’être optionnels. Par exemple l’hélice des bourrasques, grâce à votre souffle fera fuir la brume devant vous, ou vous permettra d’activer certains mécanismes utilisant le vent. Ces petites nouveautés, assimilées aux armes classiques tel que le boomerang révèlent alors toutes les subtilités d’un GamePlay particulièrement minutieux et instinctif. Ici tout se fait au stylet.

S’installe donc une vision particulière, il faut penser tactile pour progresser, l’expérience de jeu prend donc une dimension plus intense que sa précédente version. La possibilité encore une fois de pouvoir basculer la carte du haut sur l’écran du bas afin de griffonner quelques notes est un atout tant son aide est precieuse.





Autre nouveauté, cette fois-ci vous ne serez plus seul. En effet, la princesse sera à vos cotés, du moins son âme ,ce qui n’est pas sans rappelé Navi ou Taya des épisodes N64. Si sa présence se révèle parfois discutable, elle s’avérera d’une grande aide dans la Tour des dieux, qui constitue le donjon central de cet épisode. La princesse sera capable de prendre possession des spectres qui gardent la tour, vous permettant d’utiliser de nouvelles aptitudes qui leurs sont propres. Quelques exemples : marcher dans la lave, se téléporter ou même se fauliler parmi les autres sbires sans attirés leurs soupçons. Intervient alors un jeu de binôme remarquable entre Link et Zelda, qui vous permettra de gravir les étages de la tour.





Et que serait un Zelda a notre époque sans ses douces mélodies. On se le demande, d’autant que là encore notre nouvel instrument n’est autre qu’une flûte de pan. Encore une fois, c’est un coup de génie d’avoir intégré ce qui semble être une évidence pensée pour la DS. Au stylet, vous saisissez le tube puis vous soufflez sur le micro pour faire jaillir la note désirée, drôlement astucieux non ? Il ne vous reste plus qu’à succomber aux douces sérénades que vous apprendrez au fur et à mesure au long de votre quête et qui s’avéreront très utiles.
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L'utilisation de la flûte de pan correspond parfaitement a l'ergonomie de la DS



Graphismes : 17 /20

Spirit tracks reprend le même moteur graphique que celui de Phantom Hourglass. On retrouve donc une inspiration de l’épisode Game Cube Windwaker. Et le charme continue d’opérer, avec un style propre et des animations de qualités sur DS. Cependant, certains lieux semblent vides et pauvres en détails…


Jouabilité : 19/20

Bien qu’il reprend la jouabilité de son aîné (à savoir tous vos faits et gestes au stylet), Spirit Tracks va encore plus loin grâce a un inventaire mieux pensé. Jouissant aux mieux des caractéristiques de la console. Petit plus, désormais pour effectuer une roulade, il n’est plus nécessaire de tracer un rond sur l’écran, mais de double pointés.
Les commandes du train sont très simples, mais il est parfois pénible de contrôler la camera lors du trajet avec le stylet.


Durée de vie : 17/20

Si le nombre de donjons laisse à désirer, les énigmes et autres Boss vous demanderont d’user de notre nouvel arsenal (et de vos méninges par la même occasion) afin d’en venir à bout. Pas forcément évident au premier coup d’œil. L’ensemble se révèle beaucoup mieux pensé.

Les quêtes annexes, vous prendront un temps considérable, que se soit la chasse aux lapins, la collection de tampons, ou la recherche des réceptacles de cœurs. Vous devrez, pour la plupart utiliser les voyages en train, ce qui peut à un moment être répétitif et sombrer dans la monotonie.

La quête principale vous procurera beaucoup de bonheur, même si on a déjà connue plus long.

A noter un jeu multijoueurs inclus permettant de s’affronter a 4 dans 6 arènes, le but étant d’amasser le plus de rubis.


Bande son : 19/20

Un Zelda sans ses magnifiques sérénades ne serait pas envisageable. Et ce n’est pas cet épisode qui nous prouverait le contraire. La Bande son tient une place importante encore une fois. Elle nous accompagne du début à la fin en nous offrant des moments de détentes et de poésie… et l’intégration de la flûte de Pan est une brillante idée.


Scénario : 16/20

L’histoire se passe dans un nouvel Hyrule bien longtemps après les événements de Phantom Hourglass. Si les mécanismes de jeu restent inchangés, il faut une fois de plus ramener la paix dans un monde envahit par le mal. On peut désormais compter sur une princesse qui suit vos aventures avec attention, son aide vous sera même précieuse lors de vos expéditions dans la tour des dieux.


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NOTE GENERALE : 18/20

Zelda spirit tracks ne se contente pas de suivre a la lettre la trace de phantom hourglass, il approfondit le genre en apportant avec brio de nouveaux concepts. Si on peut reprocher une certaines évidence aux énigmes, c’est que l’utilisation de la DS est utilisée a la perfection, peut-on donc reprocher cela a quiconque ?

L’utilisation du train comme moyen de locomotion n’a finalement rien à envier à la navigation de l’ancien opus. Il ouvre la porte a de nouveau défis et son utilisation se révèle être très efficace.



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